LE GRAND-PARLER DU PEUPLE AUROCHS

Ou L’épopée de la Constellation du Taureau
Conteur seul   

pour la version conteur et accordéon de concert : voir rubrique duo Conteur - Musicien

pour la version conteur et ensemble instrumental : voir rubrique Conteur + Musiciens





Mythe apocryphe, inventé, reconstitué, mais néanmoins vraisemblable et fonctionnant comme, ou pouvant passer pour, un vrai. Mythe à la fois imaginé, créé ou découvert à partir d’éléments pratiquement tous préexistants traversant tout le bassin méditerranéen et les terres taurines, de la Crête à l’Ibérie, du Minotaure à Apis et au-delà, des bisons aux taureaux de combat.
en solo, à voix nue, avec une scénographie sobre de trois totems, à travers ce récit étiologique, expliquant l’origine de la Constellation du Taureau,c’est aussi toute l’épopée tragique d’un peuple Aurochs refusant un beau un jour les sacrifices, qui nous est contée ici... 

Conception & Narration : Clément Riot
Commanditaire : Le Grand Parler du peuple Aurochs Ou l’épopée de la Constellation du Taureau est à l’origine un oratorio profane pour narrateur et cobla avec la musique de Roland Besson, créé pour le Festival “Aujourd’hui musiques” à Perpignan en novembre 2009, puis repris depuis sous le titre L’Épopée de la Constellation du Taureau ou le grand parler Aurochs en version pour conteur et accordéon de concert (création en 2011 pour les Festivals “Visages de la Méditerranée”, Prospective XXII…), et présenté également en version conteur seul (Memorai andando à Decazeville, Terre de contes à Martres-Tolosane, La Tour de Guet à Voutezac, Collège Jules Verne du Soler...)
Durée :  1h

Scénographie : un conteur et trois totems/sculptures symbolisant le ternaire (trois tercios, trois peuples, trois époques,...); sculptures manipulées en théâtre d’objets
Public : tout public, public familial ou si public homogène, scolaire ou autre à artir du Collège
Édition : le texte de ce spectacle a eu une édition bilingue français-espagnol, illustrée par le peintre Balbino Giner (2015), épuisée : Voir rubrique Presse & édition



La Dépêche du Midi, édition Aveyron
02/03/2017
“[...] Au-delà des mythes, légendes et contes sur ces magnifiques animaux admirés des dieux mais de plus en plus immolés et sacrifiés, le deuxième volet du conte ouvrait la parabole sur des interprétations beaucoup plus contemporaines et la révolte des aurochs contre les puissants « décideurs » laissait le champ libre à plusieurs niveaux d’interprétation largement commentés pendant le débat qui a suivi. À l’évidence le public, par son écoute très concentrée puis ses nombreuses interventions, a beaucoup apprécié ce texte très bien écrit et magnifiquement interprété”

︎ dossier presse complet : solo, avec accordéon, avec Cobla

Le Travailleur catalan
n°3626, 18-24 décembre 2015 par Yvette Luca
« Mythe apocryphe, reconstitué, recomposé, réinventé, et pourtant véritable » [...]. La route est tracée : se laisser porter, à travers mythes et sacrifices, des travaux d’Hercule et du Minotaure à Spartakus, l’esclave dont la révolte contre Rome illustre les terribles défis de l’Histoire, de la valeur symbolique des cornes d’Aurochs, cornes d’abondance ou de combat, à l’Aurochs sacré, promis aux grands sacrifices, ou aux aurochs roturiers devenus chair à banquets.Pour aboutir, au terme d’un épisode que l’on taira ici, au combat singulier contemporain, Ibérie oblige, celui du Toro dans l’arène. Tout ceci scandé, pour porter loin les résonances, par la parole rituelle « Mais ceci est une autre histoire ». Une histoire à lire, à dire, à transmettre.”
L’Indépendant
09/04/2016 par  Célia Chabaudie “[...] Clément Riot entraîne dans ununivers lointain entre invention et fait mythique, la délimitation est quasi imperceptible. [...] Un moment pour divaguer dans la galaxie où certains phénomènes sont à peine imaginables. Les douze constellations scintillantes nous content mille et une histoires, aujourd’hui c’était celle du taureau.”
La Dépêche du Midi, édition Aveyron
02/03/2017
“[...] Au-delà des mythes, légendes et contes sur ces magnifiques animaux admirés des dieux mais de plus en plus immolés et sacrifiés, le deuxième volet du conte ouvrait la parabole sur des interprétations beaucoup plus contemporaines et la révolte des aurochs contre les puissants « décideurs » laissait le champ libre à plusieurs niveaux d’interprétation largement commentés pendant le débat qui a suivi. À l’évidence le public, par son écoute très concentrée puis ses nombreuses interventions, a beaucoup apprécié ce texte très bien écrit et magnifiquement interprété”.





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